Chris Manfield [validé]

[Chris Manfield]

[CHRIS MANFIELD]


Nom: Manfield
Prénom: Chris
Surnom(s): Il en a pas vu la longueur de son prénom...
Date de Naissance: 17 novembre 1981
Age: 26 ans
Lieu de naissance: Jacksonville
Quartier de résidence: Une petite maison dans la banlieue new-yorkaise, à proximité de New Jersey. Il vit seul dans une maison qui compte sept ou huit pièces.
Groupe sanguin: O+
Nationalité: Américaine.
Origine(s): Ses parents sont des descendants de familles immigrées de très longue date.
Emploi: Acteur.

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Caractère: Chris Manfield est un acteur pleins de contradictions. Complètement désintéressé de son métier, il reste malgré tout un grand professionnel. Tiraillé entre ces deux extrêmes, il en conçoit un certain stress, à savoir qu'avant de rentrer en scène, de tourner, il reste dans son coin, complètement sombre, ne disant rien. Le trac. Mais il fait avec. En général, il se transcende, du moins joue mieux quand il subit le trac. Peut-être un peu masochiste sur les bords sur ce point-là sans doute. Toutefois, son avenir dans le métier n'est pas spécialement ce qui le préoccupe. Il est là, il en profite, on verra bien de quoi demain serait fait de toute façon. Il entame toutefois une énième année dans le monde merveilleux de la télévision. Il a appris à se méfier de tout et tout le monde. Donc en général, il semble peu bavard. Tout simplement, il a arrêté de faire les premiers pas, d'aller discuter avec les personnes. Il attend qu'on le surprenne plus simplement.

Aime:Considérer Hailey Wilson comme sa petite soeur/rire avec elle des rumeurs inventées par la presse torchon sur leur "couple"/Aime être dans le top 10 d'une ravissante présentatrice/ Passer du temps tranquillement chez lui.

N'aime pas:Les scéances d'autographe/ Devoir faire face aux fans hystériques/les poivrons et les courgettes/Etre aussi nonchalant.../ Que Hailey sorte avec un musicien stupide et même pas doué.

Physique: Chris est une gueule d'ange. C'est ce que raconte n'importe quelle feuille de choux, du moins n'importe quelle feuille de choux destinée à la gente féminine. Les magazines pour hommes parlent d'un enfoiré de parloteur. Bref. Chris est un peu plus grand que la moyenne, faisant environ un mètre quatre-vingts. Loin d'être un géant, ce qui le rend plus humain, plus facile à approcher pour les fans d'ailleurs. C'est aussi quelqu'un qui fait son âge. Rare dans le métier d'ailleurs. Une qualité pour certains réalisateurs. A savoir qu'il ne cache pas le fait qu'il commence, très légèrement, à se dégarnir, sa chevelure châtain était moins touffue sur le devant. Il n'a jamais caché d'ailleurs qu'il raserait le tout une fois qu'il en aurait marre de récurer le lavabo de la salle de bains parce qu'il a l'impression de tondre un mouton. Ses yeux marrons clair sont souvent dans le vague. Mais son regard, une fois qu'il est concentré, est d'une intensité rare.
Pour le reste, et bien cela justifie sa gueule d'ange. Son film, premier et unique pour le moment, était un rôle très physique. Il avait donc dû prendre de la masse musculaire. Peu de temps après, il intégrait Crash. Le réalisateur lui avait confié une unique chose: ne pas changer. A Chris donc de s'amuser avec les scéances de musculation et autres joyeusetés de ce genre... La joie et le bonheur donc d'être une idole...

Avatar: Jensen Ackles

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Histoire:

Comment faire plus simple? Un papa, une maman, de l'argent, une maison individuelle. Le tout à Jacksonville, plus grand ville de l'Etat de Floride. Comme quoi, on oublie souvent cette ville quand on ne connait pas la Floride. La Floride, ce n'est pas que Miami... Ses parents ne sont toutefois pas originaires de l'Etat. Ils sont Géorgiens, leurs familles habitent à une centaine de kilomètres de leur nouvelle demeure. Pourquoi ce court déplacement? Parce que Mattheus Horfin, fils ainé d'une famille relativement aisé, venait de décrocher un job pour être le second dans une agence bancaire de cette cité proche de l'océan. Une soit-disant occasion en or pour s'imposer dans la vie familiale que Mattheus va saisir au bond, emmenageant à vingt sept ans avec son épouse, le mariage a eu lieu trois mois plus tôt après quatre ans de vie commune, dans cette cité qu'il connaît peu.

Les Horfin, en effet. Pas Manfield. On reviendra plus tard sur les causes de ce changement de nom... Mattheus et Danita Horfin. Les familles avaient fêté quelques dizaines d'années plus tôt leur centenaire de présence sur le continent nord américain. Alors même si les prénoms ne font American Way Of Life, les deux familles sont des fervents patriotes, avec la carte de membres à la NRA, le drapeau à la porte et tout. Chris grandira dans un ensemble de vie bien moins strict. Parce que les parents vont changer, petit à petit. L'argent, facile à vrai dire, coule à flots dans la maisonnée. C'est d'ailleurs pour cela que les deux trentenaires se permettent de faire un enfant. Ils considèrent qu'ils ont les moyens de l'élever, de le rendre heureux. Quand Chris naît, il est donc un enfant désiré, et couvé. Pendant quelques temps....

Parce que les fêtes en continu vont détruire l'ensemble familial. Aussi loin qu'il se souvienne, Chris se souvient qu'à peine bambin, la maison était remplie de gens, de rires, de cris de joie, de fêtes. C'était en quelque sorte le bon vieux temps. Et il allait disparaître. La faute à l'argent. Parce que les deux jeunes mariés sont peu habitués à voir les dollars couler à flots. Parce qu'ils ont gardé quelques sales habitudes de la fac. Parce que le père pense trouver dans l'héroïne la meilleure médication contre le stress. Une bonne partie de l'argent gagné chaque mois va y passer. Cela devient un souci quand la femme est au foyer et que les prêts s'accumulent. Surtout que les familles des deux mariés ne sont pas disposées à les aider. A eux de se gérer, tel est l'avis, impitoyable qui tombe, qui va faire chuter encore plus le père. Dévoré par l'ambition, il se voit en difficulté dans son univers personnel. Certes, à la banque, il apparaît comme fiable, sûr et sans aucun problème. Du moment qu'il fait son boulot correctement, ses employeurs se fichent bien de ce qu'il peut consommer pour. En plus de la drogue, certes en quantité faible et uniquement avant d'aller travailler, Mattheus choisit de se réconforter avec la dive bouteille. Enfin la dive bouteille... Il devient vite l'incarnation du proverbe "peu importe le flacon, du moment qu'on ait l'ivresse". Au point qu'il fut découvert par sa femme en train de gouter au vinaigre de vin. Pathétique trajectoire pour un homme dont tout le monde espérait mieux. Finalement, la pression accumulée aura fini par le faire exploser...

L'alcool. Un fléau qui touchera aussi sa mère. Parce que le fait d'avoir une loque comme époux, le fait de ne pas pouvoir le critiquer parce que tout le monde considère que c'est un homme charmant, cela va la miner peu à peu. Au point qu'un soir, elle se prendra une première cuite. Pour recommencer le lendemain. Et ainsi de suite, jusqu'à ne plus pouvoir se passer de l'alcool. Son fils? Elle l'adore, fait tout ce qu'elle peut pour lui. Même si la vie à la maison est maintenant peuplée de disputes d'ivrognes, il a toujours son repas de prêt, ses habits sont impeccables, il est bien soigné. A cinq ans, il paraît normal. Si ce n'est une quelconque tristesse qui habite ses yeux par moment. Pendant trois ans, ce cinéma continua. Jusqu'à ce que le père se fasse renvoyer. Ivre mort dans son bureau, il avait manqué un rendez-vous crucial. Les employeurs l'avaient licencié pour faute grave, sans remords. Ils savaient peut-être qu'ils condamnaient sa famille. Ou pensaient-ils que le couple retournerait en Géorgie? Impossible de le dire.

La vie continua trois mois. Puis la mère fut prise d'un instant de lucidité. Se morfondant d'être une mauvaise mère, apprenant que son mari partait en Alaska, étant sommée par sa famille de faire une cure de désintoxication, elle prit une décision. Le couple n'avait jamais pu compter sur leurs familles. Ils savaient qu'ils ne reverraient jamais Chris s'ils le laissaient aux mains des rapaces qui les entouraient. Un seul couple leur vint à l'esprit. Des cinquantenaires, les Manfield. Norma avait parfois servi de nourrice pour le petit Chris. Le couple était adorable, mais semblait malheureux. Il l'était surtout parce que leur fils avait péri lors de la guerre du Vietnam. Leur seul fils. Un jour, que Chris compte comme son pire souvenir, ils reçurent un cadeau du ciel. C'était l'expression de Paul Manfield. Les Horfin abandonnèrent leur fils, leur confiant le droit de garde. Personne ne pourrait leur reprendre. Puis la voiture fila droit vers l'autoroute. Direction l'Alaska. Ce fut la dernière fois que Chris vit ses parents naturels.

Au sein de la petite famille Manfield, il était un vrai coq en pâte. Couvé, chouchouté, il découvrait assez vite qu'il pouvait avoir tout ce qu'il voulait. Après les tourments qu'il avait traversé, il ne désirait que de l'affection et du calme. Il fut servi. Les dimanches passés à lire lui paraissaient être des émanations paradisiaques. Surtout que le couple avait une bibliothèque énorme, dont le jeune garçon fut un pilleur acharné. Il espérait un jour avoir lu tout le contenu... Surtout, avec les Manfield, il se trouvait face à des gens qui ne lui cachèrent jamais son adoption. Ils l'aimaient, l'adoraient, mais craignaient d'avoir un jour à le rendre. Alors ils lui communiquaient régulièrement des nouvelles de ses parents, partis si loin en Alaska. Sa mère refusait qu'ils se rencontrent, tant qu'elle ne serait pas convaincue qu'elle pourrait de nouveau jouer le rôle de mère.

Les années qui passent éloignent du coeur dit-on. C'était sans doute vrai pour Chris. Quand, peu après sont treizième anniversaire, il découvrit ses tuteurs blancs comme un linge, l'air d'avoir appris la fin du monde, il écoute avec appréhension. Et s'en voulut de ne pas ressentir plus de chagrin à l'annonce de la mort de son père. Sa mère, oui. Mais pas son père, cet être distant qui ne donnait jamais de nouvelles. Pour lui, cela avait toujours été, et cela sera toujours, la faute de son géniteur si sa mère l'avait abandonné. Il ne nota même pas l'ironie de la situation, le fait que l'accident de voiture fatal avait été provoqué par un chauffard ivre... Mattheus avait fini par périr à cause de l'alcool, même si les mauvaises langues n'avaient jamais dû penser qu'il serait la victime d'un alcoolo...

Le juge statua. Le couple Manfield obtint la garde, malgré les requêtes et les recours. L'attachement du jeune enfant à ceux qui l'avaient élevé était manifeste et pesa sans doute dans la balance. Comme il le dit au procès, seules trois personnes semblaient vraiment être sa famille: sa mère et les Manfield. Il obtint même qu'à ses seize ans, il puisse changer de nom s'il devait être adopté. Une victoire pour lui, qui lui valut une forte inimitée des autres Horfin. Après, cela ne le gênait pas plus que cela de se voir mis au ban de son ancienne famille. Après tout, ce n'était que le sort qu'on avait reservé à ses parents alors bon... Trois ans plus tard, il prit quand même la peine de leur écrire. Avec une plume acide de joie. Parce qu'il venait officiellement d'être adopté, sur sa demande. De Horfin, il devenait enfin Manfield...

Le reste? La routine. Quelques passades amoureuses, quelques diplomes de ci de là. Rien de bien fabuleux dans la vie de Chris. Jusqu'à ce que ses parents déménagent direction Newark. Ils avaient hérité du frère de Paul. Deux maisons. Une immense, dans la banlieue friquée de la ville. Une autre plus modeste à vingt minutes de route du centre ville de New York. Vingt minutes sans bouchon évidemment... Installé là-bas, il vivait joyeusement sa vie de patachon adolescent. Un peu de ventre ne gâchait pas sa vie. Collège, lycée, université. Un cursus presque ordinaire pour ce dernier. Une fois à l'université, il commença à travailler à côté. Pour pouvoir être autonome le plus possible. Parce qu'il tenait à ne pas être un poids pour ses parents qui commençaient à prendre de l'âge. Il écuma donc les petits boulots traditionnels. Jusqu'au jour où un camarade de classe lui proposa de venir passer un casting avec lui. Rien de bien fabuleux, mais il pouvait bien s'amuser un peu.

Trois jours plus tard, il décrochait le second rôle, celui du méchant gentil, dans Dark Empires. Un demi-navet, parce que le scénario était pourri. Mais un amusement permanent pour lui. Sauf le drill, pour entretenir les acteurs qui devaient être des soldats d'élite convaincants. Quelques heures d'enfer pour des journées d'amusement. Un an plus tard, le film sortait sur les écrans. Paul se moqua bien de sa bonne pâte de fils qui jouait les méchants, lui prédisant l'oscar du gentil le plus méchant. Norma le photographia en costume cravate. Pour une fois qu'il en portait un, il allait bien devoir céder... Et puis ce drôle de type qui vous félicite et vous conseille de continuer et de tenter votre chance à la télévision...

Une seule série se tourne sur New York. Enfin se tournera. Crash. Par les réputés studios Neverland. Il se prend au jeu et va postuler. A la fin de son bout d'essai, on lui donne le contrat... Un nouveau volet de sa vie se lance...

Racontez le meilleur souvenir de votre personnage: Etant donné que Chris est orphelin, il aurait pu choisir un souvenir d'enfance avec ses parents. Simplement, il n'a jamais idéalisé son passé, malgré les faits. Même s'il en est nostalgique.
Non, son souvenir s'étale sur quelques semaines. Parce qu'elles sont indossociables. D'abord la projection de Dark Empires, le film qu'il a tourné. Pas de risques de se tromper, c'est son unique rôle au cinéma. Il avait passé le casting sans trop espérer quelque chose, vu qu'il cherchait un petit boulot pour se financer ses études d'Histoire, et il avait décroché un second rôle. Film sans grande prétention, à savoir une énième invasion d'extraterrestres, il tenait un rôle ambigu, un soldat qui ne se battait pas pour les idéaux de ses camarades, mais pour se venger. Une certaine noirceur, un manque de manichéisme certain. Voila ce qui l'avait poussé à accepter ce rôle. Et puis, lors de la présentation, voir ce type étrange le féliciter.
Cela aurait pu s'arrêter là. Il savait parfaitement que l'homme était un professionnel du cinéma, de la télévision. Qui? Ca il ne le savait pas. Simplement, la salle regorgeait de gros producteurs venus faire leur marché dans cette série B sans aucun nom prestigieux à l'affiche. En quelque sorte, un vivier potentiel. Quelques jours plus tard, il allait postuler pour Crash, la nouvelle future série événement. Une sorte de chair de poule lui parcourait le corps en entrant. Le trac, comme toujours. Il savait déjà qu'il allait donner le meilleur de lui-même, et qu'il n'aurait pas de regrets. On lui donna quelques instructions, et on le fit monter sur scène. Il joua, il le savait instinctivement qu'il le joua bien. Et puis quand enfin il regarda son jury, il ne perçut que des sourires approbateurs. Et un connu. On l'aurait donné possible pour un requin, mais il savait qu'il venait de trouver son public, l'homme étrange qui l'avait félicité. Ce dernier consulta ses comparses et déclara qu'il tenait son premier rôle masculin.
Evidemment, cela aurait pu s'arrêter là. Mais ce fut le jour où il rencontra Hailey Wilson aussi. Et de suite, ils accrochèrent, s'apprécièrent. Inutile de dire que cette journée était mémorable pour le jeune homme.

[Chris Manfield]

Racontez le pire souvenir de votre personnage: En tant que personne obligée de se muscler, il aurait pu se souvenir de quelques jours où les drills fournis par ses coachs lui avaient laissé des nausées douloureuses. Mais finalement, il y en avait un qui surpasserait toujours les autres. Pourquoi ne parlait-il jamais de ses parents? Parce qu'il n'en avait plus. Non pas parce qu'ils étaient morts. Si, ils l'étaient, mais ce n'était pas pour cela. Ils étaient morts environ cinq ans après la dernière fois où ils avaient passés plus de cinq minutes ensemble. Ce fameux jour qui resterait maudit à tout jamais. Il était né Chris Horfin. Mais le couple Horfin avait eu un jour du mal à joindre les deux bouts. La drogue, l'alcool, les engueulades. Et le bébé au milieu. Aujourd'hui, c'était sans doute un miracle s'il avait survécu jusqu'à ses huit ans. Ce jour-là, on l'avait habillé de ses plus beaux vêtements. On lui avait fait son sac en même temps que celui de ses parents. Il avait cru à des vacances. Il avait été mangé une glace, voir un film. Le bonheur, du moins pour ce qu'il croyait. Aujourd'hui, il comprenait qu'ils avaient voulu bien faire, mais en fait ils avaient trouvés le moyen de rendre la chose pire encore à vivre pour le petit garçon. S'ils lui avaient criés dessus, s'étaient frappés comme parfois, il aurait couru vers la dame qu'on lui désignait.
Même s'il avait senti que quelque chose clochait, parce que tout semblait trop bien en ce jour, il n'avait pas compris avant qu'on ne l'emmène devant cette maison. Non la maison ne faisait pas peur, non la dame n'avait pas l'air méchante. Elle avait l'air d'une gentille mamie, ce qu'elle était toujours d'ailleurs. Mais simplement, sentir sa mère le serrer dans ses bras, pleurer comme une madeleine et refuser de le lâcher en lui faisant promettre de ne jamais l'oublier et en lui donnant la photo de mariage des deux parents Horfin, cela avait horrifié le garçon. Au moins la mère avait-elle obtenu qu'il ne l'oublie jamais... Il n'oublierait jamais non plus la tristesse qu'il avait ressenti lorsqu'il avait vu la voiture partir...


Racontez le rêve de votre personnage: Chris rêve d'une vie relativement cool. Il tourne, en profite. Certes, il aimerait bien que Crash finisse par rivaliser en succès et en durée avec un soap opéra nommé les Feux de l'Amour, pour continuer un bon bout de sa vie à vivre cette vie tranquille, entouré de ses quelques amis. Parce qu'il a envie de la vivre la plus longtemps possible. En fait, son rêve, il le vit en partie. Simplement, il lui manque une femme qui l'aime pour autre chose que sa face d'ange et son portefeuille. Difficile à trouver quand on est populaire. Et puis, il s'est aussi promis de s'investir pour les orphelins. Un jour, sa famille sera composée d'une chiée d'enfants, de lui ou adoptés. Et il fera tout pour les rendre heureux et responsables. Un rêve tout con en fin de compte.

Relations

Famille: Si sa famille de naissance a disparu, ou ne cherche pas à le contacter pour ses grands-parents, oncles et tantes, il est resté très lié à sa famille d'adoption. Même si maintenant ce sont des personnes un peu âgées, il les chouchoute et passe dès qu'il peut du temps avec eux. Il les a déjà conviés à plusieurs reprises sur le tournage de la série, et ont eu les avant-premières qu'il avait récupéré.

Amis: Il s'entend relativement bien avec tous les membres de la série. A vrai dire, tourner en permanence avec les mêmes personnes contribue finalement à vous rapprocher. Parce que vous travaillez avec eux, vous vous sentez comme avec votre famille. Mais vu les inconvénients que vous traversez tous, vous oubliez les petites rivalités, parce que vous peinez tous de la même manière. Enfin, Hailey se distingue quand même de ce lot. Elle est très proche du jeune homme. Sa meilleure amie, sa confidente. Une personne à part, même parmi ses amis. Avec Adam Patterson, qui tient le rôle de meilleur ami du jeune homme. Il se considère comme formidablement bien entouré

Ennemis: La presse people, il n'a jamais pu l'apprécier. Sinon, ce n'est pas vraiment un ennemi, mais il n'a jamais pu arriver à sympathiser avec Peter Coldwell. Parce qu'il n'accroche pas à sa musique, parce qu'il n'aime pas sa personnalité, parce qu'il le trouve inintéressant. Est-il jaloux de sa relation avec Hailey Wilson? Chris répondra que non, même s'il considère que ce n'est pas un homme pour elle.

Côté coeur:Célibataire...[/center]

[Hailey Wilson]

Weeellllcommeuuuhhhh Maitre Jedi

Aaah Jensen, que ferait on sans un Jensen xD ?

Excellente fiche comme d'habitude, j'aimerais toujours autant te lire. Jvais t'harceler toute ta vie pour que tu me fasses de la lecture personnelle muahahahahahaha. Il faut savoir être économe et les livres ça coute cher . C'est une obligation !
I love Chris, I love you and I love your fiche. J'aime toujours tout.
Merci d'être venu, encore une fois, sur ce rp. Un rp sans toi c'est comme un plateau de fromages sans pavé daphinois ! La pub c'est mon dada !
Bref, jme répète à chaque fois, mais à chaque fois j'adore ton écriture.
Epouse moi è__é... jvais arreter sinon Peter va te frapper xD. Ouais il a un fouet faut faire attention .
Have fun, bon rp et tout le blabla habituel.
Jte naime

Fiche validée

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